Alice ANGLADE a le goût des formes et des symboles. Le Salon a présenté en 1999 ses œuvres en papier mâché. Et puis voilà, Alice s’essaye à la terre, à la céramique. Seconde proposition. Démiurge des déesses mères, des anges déchus ou pas, des formes rondes, par son travail elle creuse, lisse, lie la terre à des personnages mythiques ou simplement humains. Elle ancre ses formes, non pas dans la couleur, mais dans la matière, dans l’intime. Alice ANGLADE ose une œuvre allégorique et primitive.

Depuis 1986, outre des expositions personnelles à Aix en Provence en 1995 et Istres en 1996, elle a participé à de nombreuses expositions collectives.